Mes p'tits merles sont morts.
La salope de corneille les as bouffés.
Je m'en suis tellement voulu!
Mais Homme m'assure que je n'aurais rien pu faire, que c'est la nature qui décide et que ça ne sert à rien de vouloir intervenir.
Je sais tout ça depuis des lunes, mais ça me fait toujours autant de peine de savoir qu'un animal est mort pour en nourrir un autre.
C'est vrai que je ne pouvais pas passer mes journées à surveiller le nid non plus.
Au revoir mes petits, j'aurai la peau de la grosse poufiasse qui vous a bouffé.
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